les plus belles femmes politiques du monde

Ilaura fallu attendre six ans pour que TF 1 organise une nouvelle élection de « la Plus Belle Femme du monde ». Depuis 2004 et la première édition, le concept avait été mis au Chaqueannée,le magazine People publie un palmarès des 10 plus belles femmes du monde. C'est une actrice qui remporte la palme cette année encore :Gwyneth Paltrow, reprenant le flambeau de Daprès la science, Bella Hadid est la plus belle femme du monde. D’après une étude menée par le chirurgien esthétique Julian Da Silva, la top model aurait un visage d'une symétrie presque absolue. 08.01.2021 by Pauline Borgogno . Tags. supermodel popculture people gigi-hadid bella-hadid. Articles associés. Beauté Comment se maquiller comme Bella Hadid en 5 minutes . PeopleLes plus belles politiciennes du monde Shéridan Oliveira ( 1/25 ) Jusqu’en 2014, la jeune femme occupait le poste de secrétaire pour le développement Selonle Dr Julian De Silva ayant mené le projet, la femme aux meilleures proportions de visage est Amber Heard. Avec un score de 91,85%, l’ex-femme de Johnny Depp serait la plus belle femme de la planète. A travers cette étude, le chirurgien esthétique a également déterminé à quoi ressemblerait la femme qui obtiendrait 100% au calcul. nonton love ft marriage and divorce season 1. Plus de dix ans déjà que nous avons franchi la barre symbolique des 7 milliards d'êtres humains sur Terre. L'ONU prévoit que nous franchirons la barre des 8 milliards dès novembre 2022. Il faudra attendre 2050 pour dépasser celle des 9 milliards et 2100 celle des 10 milliards. Comment le nombre de femmes va-t-il évoluer dans ce contexte de constante progression ? Danica, la 7 milliardième Terrienne, née en 2011 "Alors que nous anticipons la naissance du huit milliardième habitant de la Terre", c'est "un rappel de notre responsabilité partagée de prendre soin de notre planète et un moment pour réfléchir sur les points où nous ne respectons toujours pas nos engagements les uns envers les autres", note dans un communiqué le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, publié le 10 juillet 2022. Celle qui nous a permis de battre le record historique de 7 milliards avait fait, en octobre 2011, la Une des journaux. L'annonce de la naissance de Danica, 7 milliardième habitante de la planète, à Manille, aux Philippines, créait alors la liesse dans son pays. Et pourtant statistiquement, il eut été plus probable qu’un petit Bayani ou Dakila prénoms masculins tagalog populaires aux Philippines ait vu le jour. Car s’il y a à peu près le même nombre de femmes que d’hommes sur Terre, ces derniers sont légèrement plus nombreux et il naît aujourd'hui de moins en moins de filles. S’il y a à peu près le même nombre de femmes que d’hommes sur Terre, les hommes sont légèrement plus nombreux 102 hommes pour 100 femmes en 2020, selon les chiffres de l'ONU. L'impact de la Covid-19"Les chiffres en Chine, en Grande-Bretagne ou en France ont tous illustré une chute importante des naissances durant la pandémie. Quand les personnes se sentent en situation d'insécurité face à l'avenir, ils ne font pas d'enfants. Aux Etats-Unis, le Brooking Institution a même estimé à 300 000 le nombre de bébés qui ne sont pas nés du fait du Covid-19. Depuis, on observe une petite remontée de la natalité, mais il est fort probable que le Covid-19 n'a fait qu'accentuer une tendance durable, celle de la baisse des taux de fécondité. Il faut bien avoir conscience que si la population mondiale continue aujourd'hui à croître, ce n'est pas du fait des naissances, mais parce que les humains ne meurent plus aussi vite qu'avant", estime Darrell Bricker, PDG d'Ipsos Public Affairs, dans L'Express. Chaque seconde, la population mondiale varie de +2,64 humains. Chaque jour, la population mondiale varie de +227 995,07 humains. ​► Voir le décompte en direct du nombre d’habitants sur Terre ici Plus précisément encore, sur 1000 personnes, 504 sont des hommes 50,4 % et 496, des femmes 49,6 %. Il naît un peu plus de garçons que de filles 106 garçons pour 100 filles. Mais on enregistre une plus forte mortalité chez les garçons que chez les filles ; c’est vrai dans l’enfance, mais aussi à l’âge adulte. Il arrive donc un âge où les hommes et les femmes sont en nombre égal dans le monde, c’est entre 50-54 ans. Au-delà, ce sont les femmes qui sont plus nombreuses, l’écart se creusant avec l’âge. Ainsi, en 2020, huit centenaires sur dix étaient des femmes. Vers une carence de femmes ? Ainsi le monde commence-t-il à faire face à une "carence" de femmes en âge de procréer, qui pourrait conduire à terme à des déséquilibres démographiques lourds de conséquences. D’autant que la population globale vieillit, surtout dans les pays dits développés, tout en continuant à croître - d’ici à 2050, la Terre devrait compter 9 milliards d’habitants. La masculinisation de la population varie selon les régions du monde. C’est d’abord en Asie que la proportion de garçons a commencé à augmenter parmi les nouveau-nés au début des années 1980 – au rythme des progrès de la science et des méthodes d’analyses prénatales. Et c’est en Inde et en Chine, qui représentent à eux deux 37 % de la population mondiale, que le déséquilibre est le plus inquiétant. Les deux pays les plus peuplés au monde souffrent d’une évidente carence de femmes. Depuis plusieurs décennies, la Chine, le pays le plus peuplé du monde, présente un rapport de masculinité » nettement plus élevé que la moyenne – dans certaines régions, il dépasse 120 garçons pour 100 filles. Et dans de nombreuses régions de l’Inde, ce rapport est aussi nettement supérieur à 105, également depuis des décennies. En dépit d’une amélioration dans les États les plus touchés au Nord-Ouest Pendjab, Haryana, Rajasthan, plusieurs autres États comme l’Uttar Pradesh ou le Maharashtra, autrefois épargnés, semblent aujourd’hui atteints. Dans ces deux pays, qui comptent en tout 2,76 milliards d’habitants, il y a environ 80 millions d’hommes de plus que le nombre jugé souhaitable, et plus de la moitié d’entre eux ont moins de 20 ans. "Rien de tel ne s’est jamais produit dans l’histoire de l’humanité", écrivait le Washington Post dans un article paru en avril 2018. Dans d’autres pays d’Asie, comme le Vietnam, le Népal ou le Pakistan, le nombre de garçons dépasse aussi celui des filles de plus de 10 %. Les populations asiatiques de la diaspora manifestent la même tendance en Angleterre, on a observé 113 garçons pour 100 filles parmi les troisièmes naissances probablement après deux filles chez les populations d’origine indienne ; même phénomène signalé en Italie chez les Chinois, en Norvège chez les Indiens, ainsi qu’en Grèce et en Italie chez les immigrés albanais. Le taux de naissance masculine en constante croissance Car l’Europe orientale n’est pas en reste, même si elle pèse moins lourd dans la balance démographique. Depuis au moins 20 ans, il y naît bien plus de garçons que de filles, notamment dans le Caucase et les Balkans, où le sexe-ratio à la naissance se situe entre 110 et 117 pour 100 filles – soit davantage que la moyenne en Inde. L’Azerbaïdjan est le deuxième pays au monde après la Chine en termes de déséquilibre des sexes à la naissance. Durant la décennie 2000, on a même décompté en Arménie jusqu’à 185 garçons pour 100 filles parmi les troisièmes naissances, sans aucun doute un record mondial. En Albanie, au Kosovo, au Monténégro et en Macédoine occidentale, les niveaux avoisinent 110-111 naissances de garçons pour 100 filles, avec une redoutable régularité. Que se passe-t-il ? Les raisons de ces déséquilibres sont diverses. En Asie, plusieurs facteurs plaident en défaveur des femmes, à commencer par les coutumes, les croyances religieuses ou les considérations économiques. En Inde, mettre au monde une fille est vécu comme un risque pour la famille destinée à se marier, elle devra remettre une dot puis se consacrera à sa belle-famille. Un garçon, au contraire, apportera aide et sécurité à ses parents. En Chine comme en Inde on préfèrera, selon sa catégorie socioprofessionnelle, investir dans un examen prénatal et choisir d'avorter plutôt que s’endetter toute une vie pour subvenir à l’éducation et au mariage d’une fille. En Inde et au Pakistan, où il manque 5 millions de femmes, la pauvreté de nombreuses familles pousse ces dernières à préférer les garçons aux filles ; lors des mariages, la famille de l’épouse doit verser une dot à celle du marié, un coût que tous ne peuvent pas se permettre. Par ailleurs, on estime que les hommes sont plus productifs que les femmes, et en cela plus "rentables" pour les familles les plus démunies. Il en va de même en Chine. En 1979, l’instauration de la politique de l’enfant unique, en vigueur jusqu’en 2015, ainsi que le développement progressif des techniques d’échographie ont fait beaucoup de tort au genre féminin, les parents préférant bien souvent donner naissance à un fils les "enfants-empereurs". Car s’il faut choisir, on garde le garçon qui, dans la tradition confucéenne, peut seul succéder aux parents et perpétuer le culte des ancêtres. Dans les pays du Golfe Emirats Arabes Unis, Qatar, Bahreïn, Koweït, où une grande partie de la main d’œuvre est d’origine étrangère, les travailleurs migrants n’ont bien souvent pas la possibilité de faire venir leurs familles. D’où d’énormes déséquilibres statistiques, avec parfois plus de 2000 hommes pour 1000 femmes. Gynécides des millions de non-nées En 2016, le centre asiatique pour les droits de l’homme a évalué à environ 1,5 million le nombre de foetus féminins éliminés chaque année. En Chine, 35 années de politique de l’enfant unique ont causé la disparition de millions de filles par avortements sélectifs ou infanticide. Même chose pour l’Inde où ces pratiques ont considérablement réduit la population féminine, essentiellement dans le nord du pays. Difficile de naître fille en Asie. Si, un temps, l’infanticide au féminin – la mise à mort des nouveaux-nés filles – était couramment pratiqué dans ces pays, la science a depuis progressé, rendant ce "gynécide" plus facile et contrôlable. Le développement de l’insémination artificielle permet de sélectionner avant la naissance le sexe de l’enfant. Les échographies déterminent de plus en plus tôt si le bébé à naître est un garçon ou une fille pouvant conduire ou non à l’avortement sélectif. Or généralement, les familles, pour les raisons culturelles et/ou sociales évoquées plus haut font le choix d’avoir un ou plusieurs garçons. Les dangers du déséquilibre La Chine et l’Inde accusent actuellement un déficit global de femmes d’environ 160 millions. Le nombre de "femmes manquantes" devrait même atteindre les 225 millions en 2025. A terme, si la proportion de filles par rapport aux garçons continue d’être aussi déséquilibrée, c’est tout un pan de la population qui ne pourra pas être renouvelé. Des études montrent déjà que 94% des célibataires de 28 à 49 ans en Chine sont des hommes, qui pour la plupart, n’ont pas terminé leurs études secondaires. Certains craignent qu’une masculinisation trop importante de la société chinoise n’entraîne une hausse nette de la violence et du crime. On assiste aussi à une augmentation des mariages par correspondance mariages forcés avec des femmes venant de l’étranger, notamment en Chine. Beaucoup de Chinois se tournent vers l'étranger et notamment la Birmanie pour trouver une femme, parfois via un mariage arrangé. Pour des raisons socio-économiques, il faut aussi s’attendre à un ralentissement du taux de natalité dans les pays concernés d’ici 20 à 40 ans. D’où un vieillissement de la population et, à terme, un net ralentissement de ces économies pour l’instant très dynamiques. Des solutions à long terme Certains pays ont anticipé ces impasses en prenant des mesures. La Corée du Sud, par exemple, qui au début des années 1990, présentait l’un des sexe-ratio les plus déséquilibrés du monde près de 1200 hommes pour 1000 femmes l’a fait baisser jusqu’à 106 garçons pour 100 filles actuellement. Ce retour à la normale » s’explique tant par l’amélioration du statut des femmes que par les mesures prises par le gouvernement pour enrayer les avortements sélectifs et une importante campagne de communication autour du danger d’une disproportion hommes/femmes. Des campagnes similaires ont été lancées en Inde devant le nombre des familles recourant à l’avortement sélectif en fonction du sexe pour choisir les garçons, le gouvernement a adopté une loi interdisant le dépistage du fœtus et ce type d’intervention. En Chine, un assouplissement de la politique de l’enfant unique, notamment dans les campagnes, pourrait amener à rétablir un semblant d’équilibre des sexes dans le pays. Cependant il faudra attendre une vingtaine d’années avant que les premiers effets de ces politiques se fassent sentir. Actuellement, notamment en raison de la crise sanitaire qui a éclaté en 2020, le nombre de naissance ne cesse de diminuer en Chine. En Europe du Sud et Caucase, de récents efforts de compréhension du phénomène sont plus le fait d’une mobilisation internationale que d’une prise de conscience de la population, et ils n’ont pas encore débouché sur des mesures concrètes. Mais alors, où sont les femmes ? En Europe orientale les pays de l’ancienne Union soviétique, comme la Russie, la Lituanie ou la Lettonie sont majoritairement féminins, car l’espérance de vie des hommes y est plus faible qu’ailleurs. 7 milliards de Terriens ? Reportage RTBF du 31 octobre 2011 Elle Psycho & Sexo Psycho Que ce soit pour déclarer sa flamme, remonter le morale d’un ami ou simplement booster son mental, il est parfois plus simple d’emprunter les mots des autres. Alors qu’ils soient écrivains, philosophes, politiques, artistes… on s’inspire de leurs plus belles citations. Émotions garantie. Antoine de Saint-Exupéry © Saint Luc © Jean de La Bruyère © Franklin D. Roosevelt © Serge Gainsbourg © Coco Chanel © Albert Einstein © Voltaire © Simone Signoret © Oprah Winfrey © Lamartine © Mahomet © Jacques Prévert © Confucius © François de La Rochefoucauld © Victor Hugo © Nelson Mandela © Jean-Paul Sartre © Henry James © Winston Churchill © PHOTOS. Députés sexy les belles gueules de l'Assemblée nationale femmes ET hommes dr dr ASSEMBLÉE - Ils ont tous une circonscription, une légitimité et une écharpe parlementaire. Mais parmi les 577 députés de cette assemblée nationale renouvelée, qui compte quelques 234 nouveaux membres, certains ont d'autres atouts à faire valoir. Si l'hémicycle sait faire une place aux grandes gueules et aux beaux parleurs, un peu d'allure ou de fraîcheur ne font pas de mal non plus. Pour les départager, nos confrères de Direct Matin ont eu la brillante idée de désigner les parlementaires les plus glamours du Palais Bourbon. Mais certains esprits chagrins ont regretté de ne trouver que des membres de la gent féminine dans cette courte sélection. Même la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a cru bon de réclamer depuis son compte Twitter une version plus complète de cette radioscopie des plus beaux atours de l'Assemblée. L'heure étant plus que jamais à la parité et pour répondre aux nombreuses sollicitations des lectrices, voici donc notre propre liste des belles gueules de l'Assemblée nationale. Pour ne fâcher personne, hommes et femmes y figurent en nombre presque égal et nous n'avons pas retenu les ministres en exercice qui ne siégeront pas au Palais Bourbon. » Hommes, femmes, jeunes ou moins jeunes, retrouvez notre sélection des belles gueules de l'Assemblée et votez pour votre députée préférée. Arnaud Leroy PS parce que le noir et blanc lui va si bien - La barbe craquante de l'Assemblée, c'est lui. Installé à Lisbonne, Arnaud Leroy, élu député de la 5e circonscription des Français de l'étranger Espagne, Portugal, est un ancien militant Verts qui a rejoint le PS en 2005. Barbara Romagnan PS, la classe féministe - Elue dans la 1re circonscription du Doubs Besançon, Barbara Romagnan sera un des nouveaux regards perçants de l'Assemblée. Avis aux machos de tous bords cette militante féministe, docteure en sciences politiques, a fait sa thèse sur les différences entre homme et femme en politique. Elle en a même fait un livre, "Du sexe en politique" Jean-Claude Gawsewitch, 2005. Nathalie Kosciuko-Morizet UMP, icône du style - L'élégance stricte de l'ancienne ministre de l'Environnement, réélue députée de l'Essonne le 17 juin dernier, l'impose comme une silhouette incontournable du Palais Bourbon. Sergio Coronado EELV, charme latino - Le George Clooney de l'Assemblée, c'est lui. Le nouveau député des Français de l'étranger Amérique Latine et ancien dircom d'Eva Joly a des atouts politiques aussi bien qu'esthétiques. Un charme latino quasi-génétique pour ce parlementaire de 42 ans, originaire du Chili. Virginie Duby-Muller UMP, beauté cathodique - Avec ses faux airs de Laurence Ferrari, cette jeune élue de 32 ans s'est imposée dans la 4e circonscription de Haute-Savoie. Diplômée de Sciences-Po Grenoble et ancienne attachée parlementaire, elle prend le relais du député Claude Birraux, qui avait choisi de ne pas se représenter. Julie Sommaruga PS, tombeuse du PCF - Militante associative, notamment au sein de SOS Racisme, avant d'être élue, Julie Sommaruga a réussi l'exploit de détrôner le PCF dans un de ses derniers fiefs des Hauts-de-Seine. A 36 ans, elle a été très largement élue avec 64,22% des suffrages face à Jean-Loup Metton UMP, après avoir doublé la maire de Bagneux au premier tour. Marion Maréchal-Le Pen FN, classe mannequin - A seulement 22 ans, la jeune députée du Vaucluse fait une entrée remarquée à l'Assemblée nationale. La jolie blonde fait d'ailleurs déjà tourner les têtes. Elle "pourrait être une députée top model à Vogue", siffle, admiratif, l'ancien parlementaire UMP Eric Raoult. Laurent Wauquiez UMP, rural et urbain à la fois - Avec son allure de Robert Redford, période L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, l'ancien ministre de l'Enseignement supérieur, Laurent Wauquiez, largement réélu au second tour en Haute-Loire, fait tourner bien des têtes. Seybah Dagoma PS, un talent à suivre - Avec 70,1% des voix, Seybah Dagoma, avocate en droit des affaires et candidate socialiste dans la 5e circonscription IIIe et Xe arrondissements, fait une entrée remarquée au Palais Bourbon. Propulsée en politique lors des municipales parisiennes de 2008, la jeune femme de 33 ans a su faire fructifier ses réseaux. Auteure d'une thèse sur les restructurations de dettes des entreprises, elle est liée au think tank Terra Nova et à la Fondation Jean-Jaurès. Marie Recalde PS, en toute simplicité - Suppléante en 2007, Marie Récalde a fait son entrée au Palais Bourbon via la 6e circonscription de la Gironde totalement acquise à la gauche. Cette urbaniste conseil de 47 ans, qui travaille dans un cabinet d'architecte est mère d'une fille de 14 ans. François Baroin UMP, le gendre idéal - Fini Harry Potter. L'ancien ministre de l'Economie et réélu député de Troyes, François Baroin a pris de la bouteille et affiche un sourire ravageur façon Hugh Grant. Barbara Pompili EELV, nouveau visage de l'écologie - A 37 ans, l'écologiste Barbara Pompili a gagné ses galons de députée en l'emportant dans la 2e circonscription de la Somme Amiens, ravie au député sortant du Nouveau centre NC soutenu par l'UMP, Olivier Jardé. Derrière son visage d'ange, la jeune femme sait où elle va. Adhérente des Verts en 2000, elle a participé à la campagne présidentielle de Noël Mamère en 2002 avant de devenir assistante parlementaire. Elle coprésidera le groupe écologiste au Palais Bourbon. Mathieu Hanotin PS, beau gosse du 9-3 - Proche de Claude Bartolone, Mathieu Hanotin accède pour la première fois à l'Assemblée nationale, après avoir battu le communiste Patrick Braouezec dans la 2e circonscription de Seine-Saint-Denis. Un beau trophée pour ce solide gaillard de 33 ans. Elisabeth Guigou PS, figure hitchcockienne - A 65 ans, l'ancienne ministre de la Justice et des Affaires sociales du gouvernement Jospin a su rester un modèle d'élégance froide version Tippi Hedren dans Les oiseaux. Elle a été réélue sans difficulté dans sa circonscription de Seine-Saint-Denis même si elle a échoué au pied du perchoir. François Fillon UMP, l'autre Don Draper - Raie impeccable, mine sévère et chaussettes rouges... L'ancien premier ministre et nouveau député de Paris séduit par son style très british et ses allures de Madmen. Un beau complexe d'Electre en perspective. Axelle Lemaire PS, une touche multinationale - Elle réside en Angleterre depuis "plus de dix ans" et travaille dans un cabinet d'avocats. "Née au Canada d'une mère française et d'un père québécois", Axelle Lemaire PS, 32 ans, a été élue députée de la 3e circonscription des Français de l'étranger. Ericka Bareigts PS star montante de la Réunion - A 45 ans, Ericka Bareigts connait une ascension fulgurante à la Réunion. Mariée, mère de deux filles, elle a été élue députée de la 1re circonscription de Saint-Denis face à la présidente du conseil général MoDem. Valérie Boyer UMP, sourire aux lèvres - Échappant à la vague rose qui s'est abattue sur Marseille, la députée UMP Valérie Boyer a devancé 50,65% le socialiste Christophe Masse. Véronique Massonneau EELV, tout beau, tout bio - Fille d'agriculteur bio de Belgique et militante écologiste de longue date, Véronique Massonneau accède à son premier mandat électif national en remportant la très disputée 4e circonscription de la Vienne. Olivier Faure PS, le faux jeune premier - Sous ses airs de jeune premier, Olivier Faure, 43 ans, est déjà un homme rompu aux arcanes de la politique. Ancien conseiller spécial de Jean-Marc Ayrault, il a été élu député de la onzième circonscription de Seine-et-Marne. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 20 Arnaud Leroy PS parce que le noir et blanc lui va si bien - La barbe craquante de l'Assemblée, c'est lui. Installé à Lisbonne, Arnaud Leroy, élu député de la 5e circonscription des Français de l'étranger Espagne, Portugal, est un ancien militant Verts qui a rejoint le PS en 2005. Invités dimanche de la radio Nana FM, Elias Aboflan et Démakou Yendoubé, membres du Bureau de la Nouvelle jeunesse pour le soutien au président Faure NJSPF, on dressé le bilan de l’action du chef de l’Etat depuis son arrivée aux affaires. Les gens peuvent ne pas l’aimer, ne pas apprécier tout ce qu’il fait. Ils peuvent demander encore plus, mais la plus belle fille du monde ne peut que donner ce qu’elle a. Depuis 2005, Faure Gnassingbé a fait beaucoup d’efforts. Nous estimons qu’il y a beaucoup de choses très positives », a déclaré Elias a toutefois reconnu que même si les conditions de vie de la population se sont améliorées, la pauvreté demeure un problème majeur au sa part, Démakou Yendoubé, a critiqué ceux qui dénoncent avec excès la politique menée par le chef de l’Etat.   Mieux vaut voir le verre à moitié plein qu’à moitié vide. Le président a fait beaucoup pour remettre le Togo sur le chemin de la démocratie et de la liberté d’expression. La relance économique commence à porter ses fruits. Ce sont des réalités incontestables », a-t-il fait remarquer.  FEMMES - Les cuisses, cette partie du corps qui fait souvent complexer les femmes. Difficile d’être à 100% satisfaite de ses cuisses quand on est entourée de top-modèles dans les magazines et sur les affiches publicitaires. Bien souvent, ces cuisses “parfaites” n’existent que grâce à des retouches astucieuses gardons en mémoire que 90% des femmes ont de la cellulite. Mais cela n’apaise en rien la honte que peuvent ressentir les femmes qui ne sont pas à la hauteur de leurs idéaux. Pour y remédier, le Huffington Post Women a photographié les cuisses de 25 femmes entre 20 et 70 ans, de véritables sources d’inspiration. Cette rubrique du site américain a demandé à chacune d’entre elles de choisir un mot pour décrire leurs cuisses, et de parler un peu de la relation qu’elles entretiennent avec cette partie de leur corps. Les photos qui en ressortent sont magnifiques - et sans aucune retouche. Mesdames et Messieurs, voici à quoi ressemblent de vraies cuisses. Elles ne sont peut-être pas “parfaites”, mais elles sont terriblement belles. "Gambettes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Malheureusement, la plupart du temps, je n’aime pas mes cuisses à cause des marques, plus connues sous le nom de cellulite, plus connue sous le nom de graisse. En vieillissant, on a tendance à de moins en moins supporter son corps, et à le couvrir de plus en plus. Pourtant, j’aime bien être jambes nues, surtout pendant l’été. Mais c’est dur de ne pas se sentir à l’aise dans des shorts ou des jupes assez courts -ne parlons même pas d’un maillot de bain. Et puis je me dis que je suis solide et en bonne santé, et au diable les cuisses grasses. Je suis heureuse de les avoir.” "Élastiques" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “J’ai choisi le mot élastique’ parce que mes cuisses ont été à la fois grosses et fines. Littéralement. Elles ne m’ont jamais laissé tomber. Leur taille et leur forme sont peut-être passées de sveltes à rondelettes, mais elles remplissent leur tâche et m’aident à garder les pieds sur Terre - bouger, marcher, courir et danser, vers l’avant.” "Superbes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Avant, j’étais complexée par mes cuisses - je pensais qu’elles étaient trop grosses. Maintenant, je ne vois plus les choses de la même façon, et je ne sais pas vraiment pourquoi. Je pense que j’ai grandi, je suis devenue plus à l’aise avec mon corps, et c’est un sentiment très gratifiant.” "Robustes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Je traverse des périodes où je me sens assez complexée par mes cuisses, parce que j’ai beaucoup de vergétures. Mais quand j’ai évoqué le sujet avec mon copain il y a quelques semaines, il m’a dit “Mais de quoi tu parles?”. Ça m’a rappelé que personne ne critique autant mon corps que moi-même.” "Tourtes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Ma profession réclame que je sois toute la journée debout dans une cuisine, où mes cuisses gravitent entre le babeurre, la farine et la friture. Je pense rarement à mes cuisses, à part quand je me dis que j’aimerais qu’elles passent plus de temps au soleil.” "Compliquées" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Dans l’ensemble, j’aime mes cuisses. Elles sont fortes et musclées. Par moment, j’aimerais qu’elles soient plus petites, ou qu’elles ne se touchent pas autant quand je porte des robes - les cuissards sont mon meilleur ami pendant l’été. Mais la plupart de temps, ça ne me dérange pas.” "Avantageuses" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Mes cuisses ont toujours été, à la fois intérieurement et en apparence, représentatives de ma passion pour le sport. J’ai réfréné cette attention particulière envers mes cuisses tout au long de mon adolescence, parce que les jeunes ne savent pas comment aborder les filles musclées, à part en réduisant à néant leur confiance en elles ou en étant obsédés par leurs cuisses. Mais quand je suis arrivée à l’Université et que j’ai rejoint l’équipe de rugby, j’ai soudain réalisé que mes cuisses étaient les plus petites dans la salle. Maintenant, je suis plus ou moins fière de mes cuisses et de mes jambes, en fonction de si je veux acheter une robe de soirée ou un jean. Mais je suis en couple avec une femme qui a de très longues jambes, dont la forme ne pourrait pas plus opposée aux miennes. Vivre avec elle m’a appris que toutes les femmes ont leurs complexes.” "Épaisses" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “J’aime bien mes cuisses. C’est sans doute la seule partie de mon corps que je ne déteste pas vraiment, mais l’affection que je leur porte varie de jour en jour. Je n’ai pas particulièrement la cellulite quand je porte un vêtement assez moulant, mais j’ai adopté la mentalité du “C’est la vie” en ce qui les concerne. Je pense que mes cuisses sont la représentation exacte de ce que je suis dans la vie j’aime courir et j’aime tourner. J’aime aussi le chocolat, le fromage, le pain trempé dans l’huile d’olive. Je sais que me débarrasser de ces aliments reviendrait à éliminer ma graisse, mais bon, quelques bourrelets n’ont jamais fait de mal à personne. Et je suis heureuse avec ma vie telle qu’elle est.” "Puissantes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “J’aime vraiment mes cuisses. J’aime la force qu’elles dégagent et comment je peux courir des kilomètres avec elle. Il y a eu un moment notamment quand c’était la mode de l’écart entre les cuisses’ où je ne les aimais pas. Mais grâce à Nicki Minaj, Bey and Rihanna, j’aime mes cuisses. Et pour rien au monde, je ne voudrais celles de quelqu’un d’autre”. "Fortes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Mes cuisses ont été au cœur de mes problèmes de représentations que je me faisais de mon corps. Je me souviens encore comment mes cuisses toutes fines et féminines sont devenues des cuisses musclées de joueuse de football américain, entre mon année de première et ma deuxième année de Licence. Même si depuis j’ai appris à accepter leur force, il y a encore des jours où je me sens complexé par la façon dont elles débordent de mon short d’été, ou par le fait qu’elles se touchent quand je marche en maillot de bain sur la plage. Je n’aurai jamais de réel écart entre les cuisses, mais je peux remporter un concours de flexions. C’est juste que, parfois, je lutte pour que ces prouesses sportives restent les plus importantes pour moi.” "Heureuses" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Quand j’étais jeune, j’ai rapidement réalisé que je devais m’améliorer, et notamment faire quelque chose à propos de mes grosses cuisses. J’ai passé 20 ans à courir pour garder mes cuisses fermes et fines, mais j’en ai payé le prix mes jambes étaient épuisées, fatiguées par les efforts. Il y a deux ans, j’ai réalisé combien mes jambes étaient fatiguées alors que j'étais en train de courir. Je me suis alors arrêtée net, j’ai fait demi-tour et je suis rentrée chez moi. Maintenant, je raffermis, je renforce, j’étire et j’apprécie mes cuisses grâce au yoga, à la marche et à la randonnée. Sincèrement, je me sens mieux depuis que mes cuisses sont plus grosses.” "Honnêtes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Mes cuisses doivent gérer beaucoup de choses. Elles montrent équitablement les résultats de longues courses et de mon penchant pour le chocolat. Et elles ont été littéralement et métaphoriquement la base de ma croissance. J’ai travers beaucoup de périodes d’anxiété en ce qui concerne mon corps tout au long de ma vie, et j’ai vu mes cuisses évoluer et refléter mes combats internes et externes. Chaque bleu, chaque coupure a une histoire, et j’ai appris à les porter sans mentir, malgré mes problèmes d’insécurité. Je suis fière de mes cuisses, comme je suis fière du reste de ce corps que j’ai tâché de garder en bonne santé et heureux.” "Magiques" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Voici les cuisses qui m’ont permis de danser dans une école de danse professionnelle à l’âge de 10 ans. Ce sont les cuisses qui m’ont aidé à décrocher une bourse pour aller à l’université. Elles ont changé de taille et de forme au fil des années, mais je dois continuer de les aimer malgré tout - ce qui est bien plus facile à dire qu’à faire. Toutefois, à la fin de la journée, elles sont incroyables. Mes grosses cuisses ne correspondent peut-être pas aux critères de beauté de la société, mais elles sont magnifiques à mes yeux. Et c’est vraiment la seule chose qui compte. "Fortes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Avec un beau bronzage, quelques heures de sport et mon short préféré, j’ai l’impression que mes cuisses sont mon plus bel atout. Mais la plupart du temps, je reste bloquée sur leurs imperfections - un bleu ici, un peu de cellulite là, une veine qui ressort là-bas. C’est seulement après un weekend de danse que je les apprécie vraiment pour leur force, parce que si la musique est bonne, je ne m’arrêterai pas, quelle que soit l’heure.” "Épaisses" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Dans ma culture, avoir des formes fait partie des standards de beauté. Avoir des cuisses épaisses me convient très bien. Mon regard sur mes cuisses dépend de la façon dont je me sens dans mon corps. Si j’arrête de faire du sport pendant un moment, la cellulite et le côté flasque vont me faire détester mes cuisses. Au contraire, si je me mets à faire du sport et que mes jambes se raffermissent, je les aime beaucoup. En ce moment, je suis entre les deux”. "Féminines" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "J'oscille entre un ressentiment et le fait d'apprécier les courbes féminines qu'ils ont ajouté à mon corps. J'en pense le meilleur lorsque je ne me focalise pas sur la façon dont elles me font apparaître, mais au contraire sur ce qu'elles peuvent faire. Elles peuvent pédaler mon vélo jusqu'à une colline escarpée, elles peuvent garder mon corps stable lors d'une position difficile durant un cours de yoga, et elles peuvent me donner suffisamment de force pour une longue randonnée. Je ne suis pas convaincue du fait qu'elles soient physiquement attirantes, mais il est difficile de les détester alors qu'elles représentent une telle source de puissance." "Douces" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “Il y a des jours où la dernière chose que j’ai envie de faire est de mettre un short, parce que je sais que je vais passer toute ma journée à observer mes cuisses graisseuses et à essayer de m’asseoir de sorte à ce qu’elles ne paraissent pas plus grosses qu’elles ne le sont déjà. J’ai déjà perdu tant de temps et d’énergie dans ma vie à m’inquiéter du fait que mes cuisses n’étaient à l’image des standards de beauté. Autant, j’ai réussi à changer mon état d’esprit au fur et à mesure que j’ai grandi et que j’ai gagné confiance en moi, autant, je continue encore parfois de m’en inquiéter. Heureusement, ces jours-là sont de moins en moins fréquents. Finalement, ces cuisses sont uniques. Elles m’ont emmenée à travers le monde, et elles m’emmènent au lit tous les soirs. J’aime la façon dont mes cuisses souffrent après une bonne course, combien elles sont douces même en plein hiver. Quand je les regarde aujourd’hui, je ne m’inquiète pas de si elles vont aller avec mon short, mais je vois tous les endroits où j’ai pu aller et où j’irai, et je suis fière.” "Sensibles" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "Quand j'étais enfant, j'avais l'impression que mes jambes étaient trop fines. Après avoir regardé le film 'Sailor Moon', j'ai remarqué que les Sailor Scouts n'avaient pas d'écart entre leurs cuisses, et j'ai alors détesté mes cuisses. J'essayais même de me tenir autrement pour tenter de cacher le fait que mes cuisses étaient fines. Je pense vraiment que le manque d'écart entre les cuisses est beau, sexy et féminin. Alors en grandissant, j'ai appris à aimer mes cuisses de plus en plus." "Jambes?" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "Je me sens plutôt bien par rapport à mes cuisses, mais pour être honnête, je ne passe pas beaucoup de temps à penser à elle. Et quand je le fais, c'est souvent pour me dire "Est-ce que je devrais refaire faire ce tatouage?". "Longues" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "J'ai toujours entretenu une relation d'amour/haine avec mes cuisses. En grandissant, je pense qu'ils étaient la partie de mon corps que j'aimais le moins, surtout parce que j'ai une tâche de naissance qui monte tout le long de ma cuisse droite. Alors que je deviens plus âgée, je suis parfois ravie de mes cuisses, et le jour suivant elles peuvent me faire sentir très mal à l'aise. Dernièrement, j'ai toutefois essayé d'être plus confiante quant à la beauté de mon corps tel qu'il est, et donc je me sens très bien par rapport à elles! Elles sont une jolie partie de moi!" "Marquées" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post “En général, j’ai tendance à me sentir complexée par mes cuisses. Elles sont toujours la partie la plus importante de mon corps, elles ne bronzent jamais - tout comme le reste de mon corps - même quand j’essaie, et en grandissant, elles sont devenues de plus en plus marquées à cause de la cellulite. J’ai peur que si quelqu’un voit mes cuisses, cette personne ne pense que je fais 20 ans plus vieille que mon âge. J’aimerais qu’elles ne tremblent pas tant quand je marche. Je hais tellement quand elles se frottent quand je marche et que je dois porter un vêtement spécial lorsque je veux mettre un short ou une jupe. Mais malgré tous ces problèmes et ce manque de confiance en moi, ces cuisses m’ont porté toute ma vie. Elles m’ont emmenée dans des pays étrangers, m’ont accompagnée quand j’ai été diplômée et m’ont fait déménager dans 4 États différents en l’espace de quatre ans. Elles m’ont supportée quand j’ai couru mon premier semi-marathon, malgré leur entêtement et leur constante de raideur dans les heures et les jours qui ont suivi. Ces cuisses ont vécu les mêmes expériences que moi, et pour ça, je suis fière d’elles.” "Sous-estimées" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "Elles ne sont pas particulièrement la plus belle partie de mon corps où celle que je veux mettre en valeur. Mais je les apprécie pour être la base de toutes mes exercices et de mes activités physiques." "Reconnaissantes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "J'apprécie tout ce que peuvent faire mes cuisses, et je les aime pour ça. Je peux courir, danser et tenir accroupie au-dessus des toilettes. Mais parfois, je me sens hypocrite, parce que je suis aussi reconnaissante envers mes genoux. Je n'ai pas à travailler dur pour avoir le corps que la société voudrait que j'aie. Je n'ai pas encore décidé si j'aimais mes jambes de façon inconditionnelle." "Fortes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "Je me sens généralement à l'aise avec mes cuisses. Je reçois des commentaires jugeants à leur sujet de temps en temps, mais je m'en fiche. Mais le plus souvent, rester active et en bonne santé m'aide à me concentrer sur les capacités de mon corps, plutôt que de me comparer aux autres." "Aidantes" Damon Dahlen/Huffington Post Damon Dahlen/Huffington Post "Ce n'est la partie de mon corps que je préfère, mais elles sont correctes. Elles sont bien plus fortes qu'elles ne l'ont été, grâce au sport".

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